L'immigration clandestine un casse-tête en France.
De temps en temps, des cas d'immigrés clandestins en France font la une des journaux, des magazines et des programmes télévisés. Le pays, le gouvernement, les habitants essayent toujours de diverses manières de trouver une solution radicale à cette question épineuse, surtout en sachant que certains clandestins commettent des crimes, se suicident ou sont tués aux mains de racistes ou d'organisations hostiles.
Au cours des deux derniers mois, l'histoire de Theo, 18 ans, tout juste diplômé de l'Université après avoir obtenu son diplôme, et travaillant comme vendeur pour une entreprise spécialisée dans les téléphones portables, qui a été tué par un immigré sénégalais, il a été poignardé en plein cœur. L’accusé, qui était alors en détention avait admis le crime et avait déclaré n’avoir aucun remord.
Au fil du temps, les choses sont revenues à une situation relativement normale. La question des immigrés et de leurs problèmes a fait les derniers titres des journaux et les journaux télévisés, mais un nouveau problème a fait surface. Mais ce qui est remarquable, c'est que ces immigrés sont cette fois les victimes et non les bourreaux.
Sur la voie ferrée de Bayonne, dans l'ouest de la France, près de la frontière espagnole, a été le premier train, s'apprêtant à démarrer avant l'aube, au moment où quatre immigrés d'origine algérienne s’étaient sur la voie ferrée pour se reposer, loin des yeux de la sécurité française, cette décision était la fin du voyage pour eux.
Alors que le train filait vers Saint-Jean-de-Luz, où dormaient les quatre émigrés, au moment ou le train s'approchait de la gare et que le conducteur aperçut les quatre jeunes hommes, il était trop tard et il ne put ralentir, le train finit par heurter les quatre jeunes immigrés ce qui a conduit à leur mort.
Dans le contexte de cet incident tragique, le procureur général de la ville a été contraint de faire une déclaration à la suite du tollé qu'a provoqué L'incident, où il a déclaré que l'ambulance avait réussi à sauver le quatrième immigré, qui a été grièvement blessé.
Le procureur général a confirmé lors d'une conférence de presse que le blessé était un Algérien et qu'il était grièvement blessé, mais que "sa vie n'était plus en danger".
Le procureur de la République a expliqué que les freins d'urgence n'avaient pas pu arrêter le train avant qu'il ne heurte les quatre hommes. Car la distance nécessaire pour l’arrêt est de 310 mètres.
Concernant leur nationalité, le procureur de la République a confirmé qu'ils sont presque tous originaires d'Algérie, soulignant que la vérification de leurs nationalités prendra du temps en raison de la mutilation de leurs corps et du manque de papiers avec eux.
On estime statistiquement qu'entre 2018 et 2019, 3 migrants sont morts dans la région des Hautes-Alpes après avoir traversé la frontière, et l'année dernière les autorités ont arrêté 78 passeurs dans les Hautes-Alpes, contre 30 en 2019 et 31 en 2018, 34 en 2017 et 6 en 2016.
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