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Affichage des articles du mai, 2021

Macron menace de retirer les forces françaises du Mali.

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  Le président Emmanuel Macron a annoncé, dans une interview au « Journal du Dimanche », publiée dimanche, que la France retirerait ses forces du Mali s'il va "vers" ce qu'il a qualifié d '"islam radical", après un deuxième coup d'État dans les neuf derniers mois. La France, qui compte environ 5100 membres dans la force Barkhane, apporte son soutien au Mali, qui depuis 2012 fait face à des attaques qui ont plongé le pays dans une crise sécuritaire sans précédent, les forces Françaises se sont déployés dans le pays afin d’essayer de régler avec l’aide d’autre force cette crise que subit le Mali depuis des années. Mais Paris, comme l'Union européenne, a condamné, mardi, le "coup d'État inacceptable", après l'arrestation du président Bah N'Daw et du Premier ministre Moktar Aouan, par décision de l'homme fort du pays Asimi Goïta. Le président français, en visite au Rwanda et en Afrique du Sud, a déclaré: "Au pré

La police abat un "islamiste radical" après avoir poignardé une policière à Nantes.

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  La police a déclaré qu'un homme avait poignardé une policière avec un couteau et l'avait gravement blessée dans la ville de La Chapelle-sur-Erdre, dans l'ouest de la France, vendredi 28 mai 2021, et avait ensuite été tué lors d'un échange de tirs avec ses membres. L'attaquant a été assiégé après une poursuite à laquelle ont participé deux hélicoptères et plus de 200 policiers. La police a déclaré qu'un échange de tirs avait eu lieu alors que leurs hommes tentaient de l'arrêter, ajoutant qu'il était décédé peu de temps après et que deux policiers avaient été blessés. Le mobile de l'attaque n'était pas immédiatement clair. Le bureau du procureur général de la lutte contre le terrorisme a déclaré qu'il suivait la situation mais ne dirigeait pas l'enquête. Le ministre de l'Intérieur, Gerald Darmanin, a déclaré que l'attaquant suivait des pratiques islamiques strictes en prison et a ajouté aux journalistes que le suspect était

Macron admet la responsabilité de la France dans le génocide au Rwanda.

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  Dans un discours au Mémorial du génocide de 1994 à Kigali, le président Emmanuel Macron a annoncé jeudi qu'il était venu au Rwanda pour reconnaître la responsabilité de la France dans les massacres. Dans le discours très attendu, il a déclaré que la France "n'était pas complice", mais "a préféré pendant longtemps le silence à l’admission de la vérité", lors d'une visite officielle au Rwanda, qui a été décrite comme "le dernier arrêt de la normalisation de la relations "entre les deux pays après plus de 25 ans de tension à cause du rôle de la France dans l'éradication des Tutsi. Emmanuel Macron a visité Jeudi à Kigali, le monument du génocide de 1994, dans l'étape la plus marquante de la visite de Macron au Rwanda visant à consolider la réconciliation entre les deux pays après un différend qui a duré plus de 25 ans. Macron aaussi visité le musée, où s’alternent des des vidéos de témoignages et ou des cranes des ossements et des v