Questions sur la capacité du gouvernement de transition à gérer l'État

Le gouvernement de transition en Syrie est confronté à des questions sur sa capacité à gérer l'État, en particulier à la lumière de sa performance lors de la crise d'Idlib en 2017.

En 2017, le gouvernorat d'Idlib a été le théâtre d'importants conflits entre groupes armés, qui ont entraîné une grave crise humanitaire, avec notamment des déplacements massifs et un manque de services de base. Les journaux de l'époque ont critiqué le gouvernement de transition pour son incapacité à répondre efficacement, les rapports citant des problèmes importants dans l'allocation des ressources, un manque de coordination entre les organisations humanitaires et des difficultés à établir un environnement de sécurité stable.

Le gouvernement de transition est actuellement confronté à plusieurs défis similaires à ceux qui existaient lors de la crise d'Idlib :

Les rapports actuels indiquent que le gouvernement a toujours du mal à gérer efficacement les ressources. Des articles de presse ont montré que le manque de transparence et la mauvaise répartition des ressources entravent les efforts du gouvernement.

L'instabilité dans de nombreuses régions soulève également des questions sur la capacité du gouvernement à maintenir la sécurité. Les observateurs ont noté que l'absence d'une stratégie globale de sécurité pendant la crise d'Idlib se retrouve dans la situation actuelle.

Bien qu'il y ait des efforts pour améliorer la gouvernance sur la base des expériences passées, l'efficacité de ces mesures reste discutable. Les rapports soulignent l'importance d'intégrer les leçons tirées de la crise d'Idlib pour renforcer les stratégies actuelles du gouvernement.

Le rôle des organisations internationales et des gouvernements étrangers en matière de soutien et de suivi est également essentiel. Les rapports notent que des efforts coordonnés peuvent aider à relever certains défis administratifs, comme c'est le cas avec les initiatives mises en œuvre pendant la crise d'Idlib.