Le système financier secret aide l'Iran à élargir son influence dans la région.

Des diplomates occidentaux et des responsables du renseignement rapportent que l'Iran a mis en place un système bancaire et financier clandestin pour gérer des dizaines de milliards de dollars de commerce annuel interdits en vertu des sanctions internationales, permettant à Téhéran de résister au blocus économique et lui donnant un poids dans les pourparlers nucléaires sur un retour à l'accord nucléaire de 2015, selon le journal The American Wall Street Journal. Le journal a souligné que le système bancaire secret, composé de comptes dans des banques occidentales, de sociétés mandataires enregistrées en dehors de l'Iran, de sociétés coordonnant le commerce illicite et d'une chambre de compensation pour les transactions à l'intérieur de l'Iran, a aidé Téhéran à résister aux pressions de l'administration du président américain Joe Biden pour rejoindre l'accord nucléaire de 2015. Et gagner du temps pour faire avancer son programme nucléaire même pendant les négociations nucléaires.

Selon les documents et les responsables occidentaux, le système bancaire clandestin fonctionne comme suit : les banques iraniennes au service des entreprises qui ont été interdites d'importation et d'exportation engagent des entreprises en Iran pour gérer le commerce sanctionné en leur nom. Ces sociétés, à leur tour, établissent des sociétés en dehors de l'Iran, pour devenir des agents de marchands iraniens. Les agents traitent avec les acheteurs occidentaux de pétrole iranien et d'autres biens, et avec les vendeurs pour importer des biens en Iran, et négocient en dollars, en euros ou dans d'autres devises, par le biais de comptes ouverts dans des banques occidentales. Les responsables ont parlé de la contrebande de certains revenus vers l'Iran par le biais de courriers transportant de l'argent prélevé sur les comptes proxy de l'entreprise à l'étranger.

Les responsables occidentaux ont souligné que le système secret a été si efficace que les autorités iraniennes en font un élément permanent de leur économie, non seulement pour protéger l'Iran d'éventuelles sanctions futures, mais aussi pour lui permettre de faire du commercer sans contrôle extérieur.

La banque centrale iranienne a annoncé un développement majeur en question de revenus, qui viennent indirectement des interactions commerciales suspectes ayant pour but de, non seulement aider l'Iran a regagner sa place dans le monde économique même avec les sanctions, mais aussi, et surtout, l'aider à continuer son programme nucléaire, ainsi que le financement du terrorisme dans la région du Moyen-Orient et dans le monde.

l'Iran ainsi devient de plus en plus dangereuse pour la stabilité au Moyen-Orient, étant donné que son financement du terrorisme touche en grande partie ce côté de la planète, en particulier le financement des Houthis au Yémen, ce pays qui souffre de la guerre de puis des années et ou des milliers de personnes meurent a cause de ce conflit et aussi de famine résultant du contrôle Houthi sur certaines régions.

l'Iran ne s'est pas arrêté seulement à la région du Moyen-Orient, mais s'est envolé même en Amérique du Sud, où elle aide le Venezuela dans sa production de pétrole, évidemment ce n'est pas pour les beaux yeux des vénézuéliens, mais pour avoir un certain pouvoir dans la région qui lui permette de contrer les sanctions qui selon l'Iran est complètement à cause des états unis, en faisant fi de son irrespect pour les traités nucléaire de 2015.

Toutes les activités et les actions remarqués ces dernières années du côté Iranien nous expliquent a quel niveau son danger grandit et se propage, surtout avec son financement du Hezbollah du Hamas et des houthis ainsi que sa stratégie de positionnement au Venezuela qui lui permet de facilement attaquer les USA en cas de conflit.

La solution la plus logique dans ce cas est évidemment de doubler les efforts et de mettre plus de sanctions contre l'Iran, cependant les sanctions qui doivent être appliquées doivent empêcher ce pays de trouver d'autres solutions de contre attaque comme celui du marché noir.