Le lancement par les Émirats arabes unis d'un fonds d'investissement climatique de 30 milliards de dollars américains lors de la COP28 représente une avancée majeure dans la lutte mondiale contre le changement climatique. Cet engagement substantiel met en évidence la forte détermination du pays à relever les défis environnementaux à grande échelle. En consacrant une somme aussi importante à des projets liés au climat, les Émirats arabes unis ne font pas seulement preuve de leur engagement envers les objectifs climatiques internationaux, mais contribuent également activement à atténuer les impacts négatifs du changement climatique. Ces initiatives sont cruciales pour favoriser la collaboration mondiale, encourager les partenariats et stimuler les avancées dans les technologies d'énergie propre et le développement durable. Les fonds d'investissement d'une telle ampleur agissent comme des catalyseurs pour une transition rapide vers une économie plus respectueuse de l
Après d'âpres négociations, le texte a été validé. Les pays présents à la COP28 ont approuvé par consensus une décision appelant à une "transition" vers l'abandon des énergies fossiles. Dès l'ouverture de la séance plénière de clôture, les délégués ont adopté la décision préparée par les Emirats arabes unis, déclenchant une ovation debout et de longs applaudissements. Il s'agit d'une décision "historique pour accélérer l'action climatique", a déclaré le sultan al-Jaber, président de la conférence de l'ONU. Le document, dont la publication a été attendue toute la nuit par des négociateurs privés de sommeil, propose pour la première fois dans l'histoire des conférences sur le climat des Nations unies de mentionner toutes les énergies fossiles, largement responsables du changement climatique. "L'accord de la COP28 qui vient d'être adopté est une victoire du multilatérialisme et de la diplomatie climatique", a déclar
Le Dr Al Jaber a qualifié cette avancée d'"extrêmement encourageante", à quelques jours seulement du début de la Cop28. Ses commentaires font suite à l'annonce de jeudi, rapportée par Reuters, selon laquelle l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a déclaré que les pays développés avaient atteint l'objectif de 100 milliards de dollars en 2022. Cet engagement avait été pris en 2009 dans le but d'aider les pays plus pauvres à faire face au changement climatique. Il aurait dû être atteint en 2020. "Je tiens à remercier l'Allemagne, le Canada et l'OCDE pour leur soutien continu qui nous a permis d'en arriver là, car cela nous permettra de nous concentrer sur une décision ambitieuse concernant l'évaluation mondiale et de nous assurer que nous restons dans la limite de 1,5°C", a déclaré le Dr Al Jaber. Les pays moins riches ont souvent déclaré qu'ils ne pouvaient pas financer la transition vers les éne
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