Véronique Oma

Aujourd'hui, le Président de la République, Son Altesse Sheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, est arrivé au Caire pour une visite de travail en République arabe d'Égypte. Son Altesse a été accueillie à l'aéroport international du Caire par Son Excellence le Président égyptien Abdel Fattah El-Sisi. Son Excellence le Président El-Sisi a souhaité la bienvenue à Son Altesse et à la délégation des Émirats arabes unis qui l'accompagne, soulignant l'importance de cette visite pour le renforcement des relations bilatérales et l'ouverture de nouvelles possibilités de collaboration qui profiteront aux peuples des deux pays. La délégation qui accompagne Son Altesse comprend S.A. Sheikh Hamdan bin Mohamed bin Zayed Al Nahyan, vice-président de la Cour présidentielle pour les affaires spéciales ; Sheikh Mohammed bin Hamad bin Tahnoun Al Nahyan, conseiller pour les affaires spéciales à la Cour présidentielle ; Ali bin Hammad Al Shamsi, secrétaire général du Conseil suprême pour

Le ministre tunisien des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, dans le cadre de sa participation à la 79e session de l'Assemblée générale des Nations unies à New York, a eu des entretiens importants avec les dirigeants des Émirats arabes unis. Ces réunions, avec Sheikh Abdullah Bin Zayed Al Nahyan et Shakhboot Nahyan Al-Nahyan, se sont concentrées sur l'exploration de nouvelles opportunités d'investissement entre les deux nations. Les deux parties ont échangé des idées sur le développement des investissements conjoints tuniso-émiratis, visant à élargir leur portée dans des domaines stratégiques. Une telle initiative répond non seulement aux besoins économiques des deux pays, mais aussi à un esprit d'intérêt mutuel et d'avantages réciproques.  La collaboration entre la Tunisie et les Émirats arabes unis revêt une importance cruciale dans le contexte actuel, où les économies cherchent à diversifier leurs sources de revenus et à renforcer leur résilience. En joignant

Le nouveau Premier ministre français Michel Barnier a exposé le programme politique de son nouveau gouvernement, cherchant à consolider sa position fragile trois semaines seulement après son entrée en fonction. Dans son premier discours de politique générale, mardi, M. Barnier a déclaré que la France devait réduire son déficit budgétaire et diminuer le poids de sa dette. Il a également promis une combinaison de hausses d'impôts et de réductions des dépenses. M. Barnier, nommé le mois dernier, est confronté à la tâche difficile de combler un énorme trou dans les finances publiques à un moment où la fragmentation du Parlement et les luttes intestines au sein de son gouvernement minoritaire rendront difficile l'adoption de réformes. « L'épée de Damoclès qui pèse sur nous est notre dette financière colossale », a déclaré M. Barnier aux législateurs français mardi. Le déficit de la France la rend plus faible en Europe, a-t-il ajouté. « Notre objectif est de réduire le déficit à